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Vous êtes triste ou angoissé ? Jean 14

Que votre cœur ne soit pas bouleversé : vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi.

02 Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures ; sinon, vous aurais-je dit : “Je pars vous préparer une place” ?

03 Quand je serai parti vous préparer une place, je reviendrai et je vous emmènerai auprès de moi, afin que là où je suis, vous soyez, vous aussi...

 

Le monde est méchant ? Psaume 27

Seigneur, mon rocher, c'est toi que j'appelle : ne reste pas sans me répondre, car si tu gardais le silence, je m'en irais, moi aussi, vers la tombe.

Entends la voix de ma prière quand je crie vers toi, quand j'élève les mains vers le Saint des Saints !

Ne me traîne pas chez les impies, chez les hommes criminels ; à leurs voisins ils parlent de paix quand le mal est dans leur coeur. [Traite-les d'après leurs actes et selon leurs méfaits ; traite-les d'après leurs oeuvres, rends-leur ce qu'ils méritent.

Ils n'ont compris ni l'action du Seigneur ni l'oeuvre de ses mains ; que Dieu les renverse et jamais ne les relève !]

Béni soit le Seigneur qui entend la voix de ma prière !

Le Seigneur est ma force et mon rempart ; à lui, mon coeur fait confiance : il m'a guéri, ma chair a refleuri, mes chants lui rendent grâce.

Le Seigneur est la force de son peuple, le refuge et le salut de son messie.

Sauve ton peuple, bénis ton héritage, veille sur lui, porte-le toujours.

 

L'avenir vous inquiète ? Mathieu 6, 25-34

C’est pourquoi je vous dis : Ne vous souciez pas, pour votre vie, de ce que vous mangerez, ni, pour votre corps, de quoi vous le vêtirez. La vie ne vaut-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que les vêtements ?

26 Regardez les oiseaux du ciel : ils ne font ni semailles ni moisson, ils n’amassent pas dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Vous-mêmes, ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ?

27 Qui d’entre vous, en se faisant du souci, peut ajouter une coudée à la longueur de sa vie ?

28 Et au sujet des vêtements, pourquoi se faire tant de souci ? Observez comment poussent les lis des champs : ils ne travaillent pas, ils ne filent pas. 

29 Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’était pas habillé comme l’un d’entre eux.

30 Si Dieu donne un tel vêtement à l’herbe des champs, qui est là aujourd’hui, et qui demain sera jetée au feu, ne fera-t-il pas bien davantage pour vous, hommes de peu de foi ?

31 Ne vous faites donc pas tant de souci ; ne dites pas : “Qu’allons-nous manger ?” ou bien : “Qu’allons-nous boire ?” ou encore : “Avec quoi nous habiller ?”

32 Tout cela, les païens le recherchent. Mais votre Père céleste sait que vous en avez besoin.

33 Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît.

34 Ne vous faites pas de souci pour demain : demain aura souci de lui-même ; à chaque jour suffit sa peine.

Dégoûté de la vie ? Vite Isaie 40 !

Consolez, consolez mon peuple, – dit votre Dieu –

parlez au cœur de Jérusalem. Proclamez que son service est accompli, que son crime est expié, qu’elle a reçu de la main du Seigneur le double pour toutes ses fautes.

Une voix proclame : « Dans le désert, préparez le chemin du Seigneur ; tracez droit, dans les terres arides, une route pour notre Dieu.

Que tout ravin soit comblé, toute montagne et toute colline abaissées ! que les escarpements se changent en plaine, et les sommets, en large vallée !

Alors se révélera la gloire du Seigneur, et tout être de chair verra que la bouche du Seigneur a parlé. »

Une voix dit : « Proclame ! » Et je dis : « Que vais-je proclamer ? » Toute chair est comme l’herbe, toute sa grâce, comme la fleur des champs :

l’herbe se dessèche et la fleur se fane quand passe sur elle le souffle du Seigneur. Oui, le peuple est comme l’herbe :

l’herbe se dessèche et la fleur se fane, mais la parole de notre Dieu demeure pour toujours.

Monte sur une haute montagne, toi qui portes la bonne nouvelle à Sion. Élève la voix avec force, toi qui portes la bonne nouvelle à Jérusalem. Élève la voix, ne crains pas. Dis aux villes de Juda : « Voici votre Dieu ! »

Voici le Seigneur Dieu ! Il vient avec puissance ; son bras lui soumet tout. Voici le fruit de son travail avec lui, et devant lui, son ouvrage.

Comme un berger, il fait paître son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, il mène les brebis qui allaitent.

Qui a jaugé les eaux des mers dans le creux de sa main, et, de ses doigts, mesuré les cieux, évalué en boisseaux la poussière de la terre, pesé les montagnes au crochet et les collines sur la balance ?

13 Qui mesuré l’esprit du Seigneur ? Qui l’a conseillé pour l’instruire ?

14 De qui a-t-il pris conseil pour discerner, pour apprendre les chemins du jugement, pour acquérir le savoir et s’instruire des voies de l’intelligence ?

15 Voici les nations : elles sont pour lui comme une goutte au bord d’un seau, un grain de sable sur le plateau de la balance ! Voici les îles, comme une poussière qu’il soulève !

16 Le Liban ne pourrait suffire au feu, ni ses animaux, suffire à l’holocauste.

17 Toutes les nations, devant lui, sont comme rien, moins que vide et néant pour lui.

18 À qui pourriez-vous comparer Dieu, quelle forme lui donneriez-vous ?

19 L’idole, c’est un artisan qui l’a fondue ; un orfèvre plaque sur elle de l’or et fabrique pour elle des chaînettes d’argent.

20 Le pauvre, pour ses dévotions, choisit du bois imputrescible ; il cherche un artisan habile pour fixer une idole qui ne vacille pas.

21 Ne savez-vous pas, n’avez-vous pas entendu, ne vous a-t-on pas annoncé dès le commencement, n’avez-vous pas compris comment la terre a été fondée ?

22 Il habite au-dessus de la voûte qui couvre la terre dont les habitants semblent des sauterelles. Comme une toile, il a tendu les cieux, il les a dépliés comme une tente d’habitation.

23 Il a réduit à rien les grands, et à néant, les juges de la terre.

24 Pas même plantés, pas même semés, leur tige n’ayant pas même pris racine en terre, il souffle sur eux, les voilà qui se dessèchent, et le tourbillon les enlève comme de la paille.

25 À qui pourriez-vous me comparer, qui pourrait être mon égal ? – dit le Dieu Saint.

26 Levez les yeux et regardez : qui a créé tout cela ? Celui qui déploie toute l’armée des étoiles, et les appelle chacune par son nom. Si grande est sa force, et telle est sa puissance que pas une seule ne manque.

27 Jacob, pourquoi dis-tu, Israël, pourquoi affirmes-tu : « Mon chemin est caché au Seigneur, mon droit échappe à mon Dieu » ?

28 Tu ne le sais donc pas, tu ne l’as pas entendu ? Le Seigneur est le Dieu éternel, il crée jusqu’aux extrémités de la terre, il ne se fatigue pas, ne se lasse pas. Son intelligence est insondable.

29 Il rend des forces à l’homme fatigué, il augmente la vigueur de celui qui est faible.

30 Les garçons se fatiguent, se lassent, et les jeunes gens ne cessent de trébucher,

31 mais ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils déploient comme des ailes d’aigles, ils courent sans se lasser, ils marchent sans se fatiguer.

issu de Famille chrétienne

Vous êtes en danger ? Psaume 91

Qu'il est bon de rendre grâce au Seigneur, de chanter pour ton nom, Dieu Très-Haut,

d'annoncer dès le matin ton amour, ta fidélité, au long des nuits,

sur la lyre à dix cordes et sur la harpe, sur un murmure de cithare.

Tes oeuvres me comblent de joie ; devant l'ouvrage de tes mains, je m'écrie :

« Que tes oeuvres sont grandes, Seigneur ! Combien sont profondes tes pensées ! »

L'homme borné ne le sait pas, l'insensé ne peut le comprendre :

les impies croissent comme l'herbe, * ils fleurissent, ceux qui font le mal, mais pour disparaître à tout jamais.

Toi, qui habites là-haut, tu es pour toujours le Seigneur.

Vois tes ennemis, Seigneur, vois tes ennemis qui périssent, * et la déroute de ceux qui font le mal.

Tu me donnes la fougue du taureau, tu me baignes d'huile nouvelle ;

j'ai vu, j'ai repéré mes espions, j'entends ceux qui viennent m'attaquer.

Le juste grandira comme un palmier, il poussera comme un cèdre du Liban ;

planté dans les parvis du Seigneur, il grandira dans la maison de notre Dieu.

Vieillissant, il fructifie encore, il garde sa sève et sa verdeur

pour annoncer : « Le Seigneur est droit ! Pas de ruse en Dieu, mon rocher ! »

 

Vous avez le cafard ? Psaume 34

Accuse, Seigneur, ceux qui m'accusent, attaque ceux qui m'attaquent. *

Prends une armure, un bouclier, lève-toi pour me défendre.

[Brandis la lance et l'épée contre ceux qui me poursuivent. *] Parle et dis-moi : « Je suis ton salut. »

[Qu'ils soient humiliés, déshonorés, ceux qui s'en prennent à ma vie ! * Qu'ils reculent, couverts de honte, ceux qui veulent mon malheur !

Qu'ils soient comme la paille dans le vent lorsque l'ange du Seigneur les balaiera ! *

Que leur chemin soit obscur et glissant lorsque l'ange du Seigneur les chassera !

Sans raison ils ont tendu leur filet, * et sans raison creusé un trou pour me perdre.

Qu'un désastre imprévu les surprenne, * qu'ils soient pris dans le filet qu'ils ont caché, et dans ce désastre, qu'ils succombent !]

Pour moi, le Seigneur sera ma joie, * et son salut, mon allégresse !

De tout mon être, je dirai : « Qui est comme toi, Seigneur, * pour arracher un pauvre à plus fort que lui, un pauvre, un malheureux, à qui le dépouille. »

Des témoins injustes se lèvent, des inconnus m'interrogent. *

On me rend le mal pour le bien : je suis un homme isolé.

Quand ils étaient malades, je m'habillais d'un sac, + je m'épuisais à jeûner ; * sans cesse, revenait ma prière.

Comme pour un frère, un ami, j'allais et venais ; * comme en deuil de ma mère, j'étais sombre et prostré.

Si je faiblis, on rit, on s'attroupe, + des misérables s'attroupent contre moi : * des gens inconnus qui déchirent à grands cris.

Ils blasphèment, ils me couvrent de sarcasmes, * grinçant des dents contre moi.

Comment peux-tu voir cela, Seigneur ? * Tire ma vie de ce désastre, délivre-moi de ces fauves.

Je te rendrai grâce dans la grande assemblée, * avec un peuple nombreux, je te louerai.

Qu'ils n'aient plus à rire de moi, ceux qui me haïssent injustement ! * Et ceux qui me détestent sans raison, qu'ils cessent leurs clins d'oeil !

[Ils n'ont jamais une parole de paix, ils calomnient les gens tranquilles du pays.

La bouche large ouverte contre moi, ils disent : « Voilà, nos yeux l'ont vu ! »]

Tu as vu, Seigneur, sors de ton silence ! Seigneur, ne sois pas loin de moi !

Réveille-toi, lève-toi, Seigneur mon Dieu, pour défendre et juger ma cause !

[Juge-moi, Seigneur mon Dieu, selon ta justice : qu'ils n'aient plus à rire de moi !

Qu'ils ne pensent pas : « Voilà, c'en est fait ! » Qu'ils ne disent pas : « Nous l'avons englouti ! »

Qu'ils soient tous humiliés, confondus, ceux qui riaient de mon malheur ! * Qu'ils soient déshonorés, couverts de honte, tous ceux qui triomphaient !]

A ceux qui voulaient pour moi la justice, rires et cris de joie ! * Ils diront sans fin : « Le Seigneur triomphe, lui qui veut le bien de son serviteur. »

Moi, je redirai ta justice * et chaque jour ta louange.

 

 

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